« celui à qui l’on pardonne peu, montre peu d’amour »
Il a besoin de l’exemple pour sortir de l’ignorance. Son ignorance peut être immense et votre pardon une goutte d’eau et vous aurez l’impression que cela n’a servi à rien. Pourtant c »est lorsque son vase est plein, qu’il éclaire le monde comme la lune émergeant de nuées.
puisque : « comme vous juger, vous vous sentirez jugé »
C’est valable aussi dans la relation de soi à soi, soyons bon compagnon pour nous-même : c’est avec tendresse pour mes blocages et compréhension pour mes lenteurs que je me montre de l’amour ce qui permet de me corriger et du coup de me sentir digne de moi.
Cela fait parti de cet « ensemble de lois de vie naturelle, de phénomènes éthérés, spirituels qui conditionnent nos vies humaines ». Voir de la question de Dieu.
il est donc simplement « intelligemment égoïste » de s’éduquer au pardon, donc à la bienveillance, en commençant avec soi même.
Se reconnaitre faillible, accepter et même remercier l’autre qui vous parle de votre paille (votre voisin la voit mieux que vous!).
Seule une maladresse reconnue peut-être transmutée afin que cesse la souffrance.
« Le pardon ne veut pas dire oublier, mais notre mémoire émotionnelle va se cicatriser. On va se souvenir de l’événement et l’on n’aura plus de ressentiment intérieur ». source, dont j’ai beaucoup apprécier la lecture
Ho’oponopono, l’art du pardon
Ho’oponopono est un « Art » ancestral Hawaïen qui nous fait prendre conscience que tout ce qui nous affecte et nous dérange nous vient d’une mémoire. (mémoire : joliement illustrée dans cette histoire).
à découvrir ici:
http://epanews.fr/video/hooponopono-liberation-de-soi
http://www.mercijetaime.fr/ho-oponopono-un-chemin-vers-la-conscience-c400742
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« Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance.
Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur.
Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l’amour. »
Lao Tseu