ces conforts:
et ces inconforts:
je prends la sobriété heureuse ( tel que décrit ici et là)
« il en faut peu pour être heureux, savoir se contenter du nécessaire »
démonstration de comment notre société « tourne pas rond »
http://www.storyofstuff.org/international/
simple, claire, sous titrée en français, ou en plein d’autres langues, 20minutes
La Pravda, le 23 octobre 2007 Une énorme île d'ordures plus grande que le Texas flotte dans l'Océan Pacifique, à mi-chemin entre San Francisco et Hawaii. [Il ne faut pas s'affoler, avec ses 692.402 Km2, le Texas est juste un peu plus grand que la France, NDT] La California Coastal Commission de San Francisco, a dit que la soi-disant Grande Nappe d'Ordures du Pacifique (GPGP) grossit rapidement depuis les années 50. La gigantesque ratatouille d'ordures, qui se compose de 80% de matières plastiques et pèse environ 3,5 millions de tonnes, disent les océanographes, flotte là où il est rare que les gens voyagent, dans le no man's land entre San Francisco et Hawaii. Marcus Eriksen, directeur de recherche et d'éducation à la Algalita Marine Research Foundation de Long Beach, a déclaré que son groupe surveillait la GPGP depuis 10 ans [en cachette sans doute car on n'en avait pas entendu parler, NDT]. « Avec les vents qui soufflent et les courants qui s'enroulent en cercle, c'est le milieu idéal pour piéger [les ordures], » a dit Eriksen. « Il n'y a rien que nous puissions faire maintenant, à l'exception de ne pas faire plus de mal. » La nappe a grossi de plus en plus, avec les débris des océans du monde entier [comment est-ce possible ? C'est pas Rome pourtant ! C'est le trou du cou du monde entre Hawaii et San Francisco ou quoi ? NDT], de dix fois tous les dix ans depuis les années 50, a déclaré Chris Parry, chef de programme d'éducation du public de la California Coastal Commission de San Francisco. Les modèles actuels de l'océan peuvent garder les épaves flottantes planquées dans une partie du monde, là où personne ne les verra jamais, mais leur majorité est générée à terre, selon un rapport de l'an dernier de Greenpeace intitulé « Les débris de plastique dans les océans du monde. » Le rapport révélait que 80% des ordures dans les océans étaient originaires de la terre. Alors que les navires laissent parfois tomber des chargements de chaussures ou de gants de hockey dans les eaux (quelquefois exprès et illégalement), la grande majorité des ordures en mer a entamé son voyage comme ordure à terre. Original : http://english.pravda.ru/world/americas/23-10-2007/99346-island_trash-0 Traduction approximative de Pétrus Lombard pour Alter Info Mardi 23 Octobre 2007 http://www.alterinfo.net/Une-ile-d-immondices-plus-vaste-que-le-Texas-derive-dans-l-Ocean-Pacifique_a12728.html en provenance de la newsletter du site http://terresacree.org/cyber.htm